Cédric Prévot - Coordinateur régional DLJ en Lorraine
Il existe dans le coeur de chacun d’entre nous l’espoir fécond de revoir un jour cette "certaine idée de la France", portée par de grands noms de la vie politique française.
Un jour, un homme, issu de la droite majoritaire d’alors s’est levé et a dit NON au traité d’Amsterdam. Il a créé un courant d’idées : Debout la République. Le soir, ce courant s’est levé contre le Traité établissant une constitution pour l’Europe.
Le lendemain, ce même homme a quitté le parti majoritaire pour dire NON à une France du reniement européiste, de l’alignement ultratlantiste. Il a créé un petit mouvement : Debout la République. Le soir, ce mouvement a tenté d’emmener cet homme aux élections présidentielles : les rouages du système de l’apparence démocratique en ont décidé autrement.
Demain, mes amis, 23 novembre 2008, cet homme qui a suscité tant d’espoirs va créer son parti.
Issu de la droite, il regarde depuis toujours à sa gauche. Ses idées vont prendre corps.
Les républicains de l’autre rive et les gaullistes de toujours vont former respectivement les membres gauche et droit de ce parti. Nicolas Dupont Aignan en sera sa tête, et nous ses jambes. Nous battrons plus que jamais le pavé pour porter cet idéal. déal emplissant notre coeur commun de cet amour de la France, et de cette volonté insondable de s’engager profondément et fidèlement au service de nos compatriotes.
Le 23 novembre 2008 sera un moment où les jeunes comme moi, rencontreront des hommes et des femmes dont certains se sont donnés en tant que compagnons de la première heure du Général de Gaulle et dont d’autres prendront acte de s’engager dès ce jour au service cette certaine idée de la France. L’Histoire, rencontrera alors le présent et le futur, l’action et l’avenir, la mobilisation et l’espoir.
Parce que ces dates n’appartiennent plus qu’à l’Histoire quand on ne les vit pas, il nous faut être nombreux pour en faire le point de départ de notre espérance, un moment historique, et un grand coup politique.
Mes amis, nous avons l’Espérance, la Politique (au sens noble du terme) et l’Histoire à portée de mains.
Monsieur Dupont Aignan, sans prétention mais en vérité, je vous demande solenellement de prendre la mesure des espoirs que vous suscitez chez les français.
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, venez assistez ce dimanche 23 novembre 2008, au rendez-vous d’un homme avec la France, indépendante éternelle, et résolument tourné (sans se renier) vers l’Europe et le Monde... bref, celle que l’on aime.